[Mandelsy] Larçay, épisode 11, le premier Nokwille

En étant le pays de l'équitation, il est vrai qu'un Hippodrome paraissait évident ahah. En tout cas superbe image Smile

(J'en avais fait un dans Carnack version Cities Xl a l'époque)

Image un peu sombre mais je suis sur que tu feras honneur à ton statut de maitre en hippodrome.

Eh bien Val, tu fais dans l'originale! Je te félicite pour ton imagination!

Inspiration

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Depuis le Jdom et son belvédère,
On pouvait contempler la ville costière,
Point de départ de toutes les guerres,
Qui emportaient nos fils et nos pères.

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[Mandelsy] Larçay, épisode 11, le premier Nokwille - Page 14 QmprywG

[Mandelsy] Larçay, épisode 11, le premier Nokwille - Page 14 QmprywG

Super! J'aime beaucoup ^^
Le petit texte est de toi aussi?

trés sympa comme image. ça me rappelle la Bonne Mère.

Magnifique image en effet, hâte d'en voir plus de la ville de l'année 2020 [Mandelsy] Larçay, épisode 11, le premier Nokwille - Page 14 839159

Juste splendide Smile

skrímsli snjór a écrit:Super! J'aime beaucoup ^^
Le petit texte est de toi aussi?

Oui

Cette ville est vraiment une source d'inspiration pour écrire. J'ai deux textes rimés qui en sont issus ^^
Merci à toi !

Maori a écrit:trés sympa comme image. ça me rappelle la Bonne Mère.

Merci

Myname a écrit:Magnifique image en effet, hâte d'en voir plus de la ville de l'année 2020

ça devrait être pas mal ... enfin vous me direz Wink

galyie a écrit:Juste splendide

Merci Gal' Wink

Post insta du jour

[Mandelsy] Larçay, épisode 11, le premier Nokwille - Page 14 M0L8dkZ

À l’aube de mon troisième voyage
Je longeais les rivages,
De ces côtes semi-sauvages
En quête d’un bout d’histoire perdue à travers les âges.

Parti de Theide dix jours plus tôt,
Je naviguais à bord d’un vieux rafiot,
Lequel menaçait de prendre l’eau
Au moindre remous des flots.

Au détour d’un rocher,
J’arrivais enfin au bout de ma traversé.
Devant moi elle se dressait,
La fière cité de Larçay.

J’entrais dans l’un des ports,
Et amarrais mon navire par bâbord.
Sur les quais, des tonneaux remplis à ras bord,
Témoignaient de l’intense activité de ces rebords.

Je posais enfin pied à Terre et contemplait,
Cette pyramide emmurée,
Dans laquelle, les immeubles superposés,
Jouxtaient les peupliers.

Au sommet de l’île,
À l’abri de tout péril,
Trônait l’hôtel de ville
Le palais de l’édile.

Au loin sur le continent,
Au bord des falaises et sur leurs versants,
Des dizaines de champs,
Nourrissaient et occupaient les habitants.

Ainsi découvrais-je émerveillé,
La cité de Larçay.

ALV